suite Luc

Publié le par Sandy

Effectivement, ce pédiatre me dit n’importe quoi.  Au 15 jours de Luc, nous fut dirigé sur l’hôpital Necker dans le service du Docteur Rénier, en neurochirurgie.

Nous avons angoissé pendant ces quinze jours, et je n’avais aucune idée, ni même l’hôpital de la ma ville. Qui mon dit tout et n’importe quoi. Je ne sais pas si tu peux imaginé ce que je vivais, cela me tombé dessus et je n’avais aucun soutien. Si des parole de ma mère et encore il fallait avoir le temps. J’ai vécu au jour le jour tout les événements car ma naïveté faisait que je ne pouvais antislipé… :o) quoi que se soit. Maintenant, je peux dire que j’étais une gamine et je ne savais pas que je allais encore grandir d’un seul coup. Mûrir, et puisé dans mon intérieur.

A savoir que financièrement nous n’avions rien du tout, nous habitions un préfabriqué pour ne pas être à la rue. On a était aidé par l’entraîneur de foot de Pierre à l’époque. Il y avait une solidarité dans le village. C’est quand l’entraîneur de Pierre à su que nous vivions dans un chalet en bois avec des carreaux cassée. En hiver, il faisait plus froid de dans que dehors. Nous étions habiller en survettement et pour tout vous dire, même avec une télé noir et blanc. J'avais un manche à baler en guise de télécommande,(pour éviter de se lever), tellement qu'il callait de la fume sortait de ma bouche quand je parlais.

Je dis chalet pour faire bien, mais je dirais plutôt cabane. On payait cela 1000frs à l’époque. A un vieux du village, qui n’avait pas honte de lui apparentement.

Je m’en rappellerais toujours, je venais de rencontré Pierre j’avais 17 ans. A l’époque je sortais d’une grosse dépression, deux filles de mon quartier sortaient beaucoup le week-end. Moi, je restais terrée dans l’appartement de ma mère. Elles m’ont aidées à sortir de chez moi, nous allions en boite et là. Il y avait un videur tout petit et souriant de couleur. Mais s’en plus, je dansais comme une folle et buvais aussi.

J’ai découvre la thétila frappé avec la femme du gérant de la boite. Une grande Brun, mince, avec un visage de femme fatal…cela m’a bien dit de m’asseoir à côté d’elle. (A l’époque je ne savais pas que j’étais lesbienne !). Puis, je l’aborde et lui demande ce qu’elle boit et pourquoi elle frappait son verre sur le bar. Cela la fait rire, me répondi que c'était pour faire passer son mal de dos et je lui dit j’ai rien perdu déjà si vous rigolez. Puis elle me propose de goûter, cela ma secouer pour la première et la 2ème passé mieux. Finalement, je les accompagné  à passer son mal de dos et c’est elle qui payer...:o) Je n’avais pas un sous. Ce fût un bon moment de partage, le jour de la St Valentin. Et oui, c’est là que je me suis laissé aller avec Pierre, nous sommes sorti ensemble.

Je voulais en venir que vers mes 17 ans, ma mère me demande de partir de chez elle : Parce que je sors trop à son goût et surtout elle m’accusait d’avoir coucher avec un de ces mecs. J’ouvrirais une page maman, car j’ai beaucoup de chose a dire.

Donc, je me suis retrouvée chez Pierre comme cela nous nous sommes mit ensemble. Je raconte un peu le contexte et quand nous avons rencontré cet entraîneur, il nous a trouvé ceux petit deux pièces dans un préfabriqué. Mieux que rien et on payait moins cher que la cabane.

Je reviens à l’hôpital Necker, nous n’avions pas beaucoup de tune.

Docteur Rénier, nous demande de faire toute une batterie d’examen. Nous faisions les mêmes examens qu’une petite fille (bébé) comme Luc. Elle n’avait pas le crâne enfoncé comme Luc, mais en forme de ballon de rugby, impossible de poser sa tête droite. Nous avions échangé avec les parents quelques mots dans les salles d’attentes, ils avaient peur plus que nous.

Docteur Rénier, nous dit ouvertement et nous explique que pendant la vie fœtale la fontanelle gauche s’est soudée. Ce qui fait une asymétrie du visage et il des risques de compression du cerveau ce qui entraînerait des problème soit moteur et mentale. L’opération n‘est pas obligatoire tout en sachant les risques que les parents prennent. Même si c’est dur de voir son bébé opérer mais c’est pour son bien être. Alors l’opération est prévue au 6 mois de Luc.

Les parents qui avaient fait les mêmes examens on refusait de faire l’opération. Je trouve cela dur, mais pour leur fille... !

Publié dans Famille...(Luc)

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D
tré bo blog je trouve ke c bien raconté un gran bravo gro bisou
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